Quelle surprise aujourd’hui de recevoir un coup de téléphone pour récupérer un essaim !
Récit.
Le coup de téléphone reçu m’a pris de surprise. Je n’avais pas le matériel nécessaire au même endroit pour procéder à l’opération. Surtout que la personne qui m’a appelée m’a dit que l’essaim était à au moins 4 mètres. Ça tombait bien, le cueille-essaim était paré ! Mais il me manquait :
- une ruchette en bois qui ferme
- le nourrisseur
- l’enfumoir et le combustible
- un vieux cadre « pourri » pour les faire adorer leur futur logis
- des cadres de cire gaufrée
Je fais donc un saut au rucher 1 pour y aller. 40 mn de retard.
Cinq minutes avant d’arriver la personne m’appelle me disant que l’essaim a disparu. Étant à 5 mn de chez lui, je décide quand même d’aller voir au cas où je l’apercevrais s’il était tout proche. Après un tour dans le quartier à pieds, rien. Je décidais alors de rentrer déçu. Mais cela fait partie des aléas des cueilleurs d’essaims et j’étais prévenu.
Cinq minutes à peine après être rentré et avoir remonté mon matériel, j’entends mon téléphone sonner ! Une femme m’appelle pour me dire qu’un essaim s’était posé chez elle ! Devenez quoi, à 400 mètres à peine de là où j’étais venu ! Quelle chance !
25 minutes plus tard, après avoir oublié cette fois mon cueille-essaim. J’arrive sur place.
Quelle chance de nouveau, l’essaim est à 1,90 mètre. Gros comme un melon canari.
Voici la vidéo, mais l’emballement a fait que j’ai oublié de déclencher la caméra au début…
La mise en ruchette s’est donc bien passée. Les abeilles ont battu le rappel. Pour éviter le risque d’un contre-essaimage, j’ai préféré au bout d’une heure de fermer la ruchette.
48h de claustration au noir et au frais. J’irais la déposer au rucher 1 mardi soir.
La suite bientôt !
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